LE REPENTI OU LE SILENCE DE LA MÉMOIRE
Ma critique pour Toute la Culture :
Algérie, hauts plateaux, année 2000. ‘Le Repenti’ nous plonge dans la tentative de réconciliation d’un pays meurtri par une décennie de terrorisme et de guerre civile. Le cinéaste Merzak Allouache tente de raconter l’irracontable dans une fresque qui tangue entre les tentations de la mémoire et de la réconciliation d’un côté, du silence et de l’oubli de l’autre.
La suite :
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